Comment est né SMO ?

SMO est né de la passion de son fondateur Nicola Mirko Villani, qui a commencé sa formation et sa carrière professionnelle dans un tout autre domaine (financier / commercial). Cependant, de manière occasionnelle et surtout après plusieurs échecs de la médecine allopathique sur sa propre santé, il s'est de plus en plus rapproché de la médecine traditionnelle, découvrant "par hasard", puis de manière de plus en plus ciblée, la puissance des techniques alternatives / holistiques. 

 

Le hasard n'existe pas dans la guérison. Pour comprendre ce "hasard", Nicola Mirko s'est lancé dans des études de médecine holistique. Après une formation en parallèle de son travail économique, il a fréquenté pas moins de 2 écoles en même temps, ce qui l'a conduit à sa véritable profession. Sa passion le pousse encore aujourd'hui à étudier pour continuer à comprendre les causes des pathologies et les solutions qui peuvent être apportées. Ayant démarré l'activité un peu avant la pandémie, Nicola Mirko a dû se plonger dans l'immunologie, la virologie et les traitements alternatifs pour trouver une solution au COVID19

 

Il fallait tout miser sur la formation, sur la collaboration avec les aromathérapeutes, les médecins, les naturopathes pour trouver une solution à ce virus. 

 

La solution a été trouvée puisque le taux de guérison des patients atteints du SRAS-COV2 est de 100 %. En outre, un protocole spécial est appliqué précisément pour aider les gens à prévenir le virus avec des résultats parfaits. ​

 

Il n'était évidemment pas possible abandonner les patients traités pour d'autres maladies, car ils ne pouvaient pas non plus mettre en veilleuse leurs cancers, leur maladies dégénératives ou leurs dépressions. 

 

La maladie ne doit pas être éradiquée comme s'il s'agissait d'un ennemi. Il faut la comprendre pour en trouver la cause! Ce n'est qu'ainsi qu'elle ne récidivera pas et que la personne n'aura pas à subir les effets secondaires de médicaments. Biensûr, le choix appartient au patient. Il s'agit soit de prendre la responsabilité d'aller bien, soit de choisir la pilule miracle qui, à bien y regarder, n'a rien de miraculeuse car si la cause n'a pas été éradiquée, le bien-être ne sera que de courte durée.